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communauté d'échange d'expériences sur les technologies de l'information
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Les interventions précédentes

CRISES MAJEURES

jeudi 17 octobre 2002, Jean-Luc Tachat (HP) a présenté son expérience de la gestion de crises majeures et ses impacts en termes d'organisation, de méthodes et de relations humaines.

METHODE XP

jeudi 21 novembre 2002, a) Laurent Bossavit, consultant et co-auteur d'un livre sur eXtreme Programming chez Eyrolles, a exposé les principes de cette méthode.

b) Eric van der Vlist (Dyomedea) a fait part de son expérience avec XP dans le cadre de projets XML et plus particulièrement des problèmes spécifiques aux tests unitaires (point clé de tout projet XP) en environnement XML. Voir article sur XMLfr.

INNOVATION

jeudi 12 décembre 2002, Jacques Civilise (ILM), précédemment en charge du projet Innovation chez Renault qui a produit l'Avantime, la Vel Satis et la Laguna II, a présenté sa méthodologie Innovation Live Management qu'il a déjà mis en oeuvre avec succès dans le cadre de projets informatiques.

COUTS

jeudi 9 janvier 2003, a) Réduire les coûts informatiques : Eric Tavidian (Neocles) ;

b) Web services et retours sur investissement : Michaël Tartar (BearingPoint).

EAI puis MODELISATION AVEC XML

jeudi 13 février 2003, a) L'EAI : quelle réalité ? A l'heure où les messages parfois contradictoires se multiplient sur l'avenir des EAI, un point sur le futur de ce marché, ses liens avec le BPM et les Web services, et sur la réalité de ces plates-formes en entreprise via des cas de réalisation concrets et récents : François Rivard (Unilog Management)

b) Modéliser avec XML : Jean-Jacques Thomasson (XML-France).

SCHEMAS XML puis B2Bi

jeudi 13 mars 2003, a) Quel langage de schéma XML choisir pour chaque usage ? : Eric van der Vlist (Dyomedea)

Ce thème développé par Eric van der Vlist a fait l'objet d'un article "Quel langage de schéma choisir pour chaque usage ?" publié sur XMLfr

b) Point sur les initiatives d'intégration B2B : Eric Jarry (Software AG)

ECHANGES METIER puis XML ET BOTANIQUE

jeudi 10 avril 2003, Claude Chiaramonti, éditorialiste de http://vendr-EDI.net, a fait un exposé autour du thème "Echanges métiers : retour au contenu de l'information" et Jean-Marc Vanel, Consultant, a présenté en quoi XML lui a permis de bâtir un projet de classification et d'identification au service des spécialistes de la botanique : Worldwide Botanical Knowledge Base.

Claude Chiaramonti précise :

« Avec Internet, le Web et les protocoles d'échange ou de recherche des informations, XML fournit la lingua franca pour les décrire. Reste, pour automatiser les échanges ou les recherches, l'étape décisive : définir et enregistrer le sens, la signification, la sémantique de ces informations suivant leur contexte d'utilisation.

Ainsi, de l'EDI aux Web Services, les échanges d'application à application supposent d'automatiser l'interopérabilité jusqu'au niveau sémantique. Cela grâce à des outils comme les Core Components d'ebXML ou d'UBL pour décrire les langages métiers à partir de références universelles.

De même, pour aller plus loin que les mots-clés, et automatiser une recherche basée sur le sens, Semantic Web entend décrire les innombrables données du Web avec des outils comme RDF, OWL ou les Topic Maps.

Utopie ou prémisses de l'Information Age ? Comment se présente aujourd'hui ce retour au contenu de l'information ? »

MANAGEMENT A DISTANCE puis DELOCALISATION R&D

jeudi 15 mai 2003, a) Management de personnes à distance : Jean-Luc Tachat (hp France)

Avec l'arrivée de la mobilité du poste de travail, de plus en plus de personnes, en particulier dans les populations de vente et d'après vente, voient leurs conditions de travail évoluer volontairement ou involontairement vers une forme de nomadisation. Pour les entreprises, la nomadisation des populations est une opportunité pour mieux répondre aux contraintes et enjeux business. Néanmoins, aussi performante soit la technologie elle n'exonère pas pour autant l'entreprise de repenser son dispositif managérial et d'une manière plus générale l'encadrement des "Nomades". La question est donc de comprendre les impacts sur les individus et sur l'organisation pour que les managers de nomades puissent adapter leurs méthodes de management à ce nouvel environnement de travail.

b) Retour d'expérience de délocalisation de la R&D d'un éditeur de logiciels US : Michel Duperrier

Cette idée d'intervention est née à la suite de la parution de l'article du journal Le Monde du 23 avril 2003 intitulé : "Après l'industrie, le secteur des services commence à délocaliser". En charge de la direction d'une gamme de logiciels chez un éditeur aux Etats-Unis dans les années 97-98, Michel Duperrier a présenté son expérience de travail avec des équipes de R&D délocalisées sur l'ensemble du territoire nord-américain.

AIRBUS puis UML2 :

jeudi 12 juin 2003, a) Airbus : un puzzle sur mesure de pièces détachées et d'équipements : Jean-Jacques Thomasson (Sonovision-Itep)

J.-J. Thomasson, désormais à la tête de l'équipe qui développa pour Airbus le système de gestion des approvisionnements en équipements et pièces détachées a expliqué comment un tel système s'inscrit dans la "supply chain" et les applications de commerce électronique d'Airbus, de ses partenaires, des équipementiers fournisseurs et compagnies aériennes clientes.

b) UML2 : Une deuxième génération de langage de modélisation des systèmes et au delà... : Antoine Lonjon (Mega)

Pour l'étude des sujets complexes, les techniques de modélisation ont prouvé qu'elles apportaient une valeur ajoutée majeure dans la conduite des projets. La rigueur introduite par la formalisation sert de socle aux méthodes d'analyse et de conception. Elle ouvre aussi la porte à leur outillage, en particulier par la mise à disposition de référentiels disposant d'une interface graphique conviviale. C'est ainsi qu'apparaît le couple méta-modèle/notation qui a fait le succès d'UML 1.x: Méta-modèle: un langage formel pour décrire les projets (méta-modèle pour les processus, pour les données, pour les composants, ...). Notation: la représentation graphique de ce langage pour pouvoir le dessiner et le "montrer".

UML est né dans le contexte de la spécification de composants logiciels. Les exigences croissantes de développement de système ont conduit à élargir le champs initial d'UML, pour couvrir aussi bien la conception des systèmes temps réels que pour intégrer la dimension métier et processus des systèmes d'entreprise. UML 2.0 tente de couvrir tous ces domaines. A qui s'adresse-t-il, quelle est sa couverture fonctionnelle effective ? Au delà d'une présentation générale d'UML 2, voici quelques questions qui ont été abordées au cours de cette présentation.

LES MARCHES DE L'EDITION DE LOGICIEL ET DES SERVICES

jeudi 3 juillet 2003, Marchés en mutation ? Acteurs en restructuration ? Rachats, délocalisations, évolution des besoins des clients, pratiques commerciales, méthodes de travail... ont été abordés à l'occasion d'une table ronde entre les participants.

DOCUMENTEZ ! IL EN RESTERA TOUJOURS QUELQUE CHOSE

jeudi 18 septembre 2003, Eric van der Vlist (Dyomedea)

La documentation des projets reste un des problèmes majeurs et pourtant le plus tabou des projets informatiques. Tâche ingrate pour les uns, inutile pour d'autres, elle est pourtant capitale pour qui a bien voulu un jour se frotter à la maintenance et/ou au support technique. A l'heure où les entreprises investissent des sommes significatives sur la capitalisation de la connaissance et la transmission des savoirs, il faut bien admettre que l'informatique, pourtant réputée technologie de pointe, montre un bien piètre exemple en la matière. Eric van der Vlist se propose de démontrer, à l'appui de son expérience avec la programmation littéraire, que documentation et informatique peuvent être conciliés efficacement, logiquement et au plus grand profit de tous.

KNOW-HOW MANAGEMENT (KHM)

jeudi 16 octobre 2003, François Rivard (Unilog Management)

Il n'existe plus de savants, seulement des experts. Le savoir s'est considérablement spécialisé devant l'accroissement des quantités d'information et la réduction de leur cycle de vie. Il en est de même des savoir-faire.

Pour cette raison, capitalisation et méthodologie sont devenues fortement liées : la capitalisation centralise la construction des best practices, la méthodologie les structure dans des entités granulaires de savoir-faire. L'interaction permanente de ces deux notions permet la révision continuelle et l'amélioration des savoir-faire. Leur outillage par des logiciels adaptés leur apporte souplesse et évolutivité.

François Rivard a présenté la plate-forme actuellement mise en oeuvre chez Unilog pour répondre à ces enjeux.

PML : PROMESSES ET INQUIETUDES AUTOUR D'UN IDENTIFIANT PHYSIQUE UNIVERSEL

jeudi 20 novembre 2003, Emmanuel de la Gardette

Les progrès techniques de la miniaturisation permettent aujourd'hui à presque n'importe quel élément physique de s'identifier de façon automatique, unique et universelle sur Internet : voiture, téléphone, boîte de conserve ou feuille de papier. Un tel déploiement d'information sur le Net, n'est pas sans rappeler les milliards de 'pages' disséminées sur les millions de sites Web de par l'Internet. La différence résidera dans le fait que les sources d'informations ne seront plus des serveurs traditionnels mais, peut-être, n'importe quel matériel électronique ou ménager... Pour rendre accessibles et utilisables ces informations, il fallait un nouveau langage équivalent à HTML. Le PML pour Physical Markup Language, nouveau fils de XML est né.

Une nouvelle bataille de l'information se profile à l'horizon avec l'apparition de certaines inquiétudes pour les libertés individuelles. Ainsi, une des premières applications de cette identification universelle dans le RFID (Radio Frequency Identification) fait l'objet de grandes réserves de la part des associations de consommateurs dans l'usage détourné qui pourrait être fait de cette technologie.

POURQUOI UTILISER SVG ?

jeudi 22 janvier 2004, Antoine Quint, consultant SVG, expert invité au groupe de travail W3C SVG, Fuchsia Design

Scalable Vector Graphics (SVG) est un vocabulaire dédié aux applications graphiques qui s'appuie sur XML. Ses applications et ses nombreux avantages sont encore trop peu connus alors que SVG occupe déjà une place significative dans ce domaine. Et ce n'est qu'un début !

SOUS LE CAPOT DU DATAWAREHOUSE : principes d'architecture décisionnelle et de modélisation dimensionnelle

jeudi 19 février 2004, Jérôme Durieu (Six & Dix)

Le fonctionnement des systèmes d'information décisionnels est généralement mal connu de la communauté des utilisateurs, et encore trop souvent de la communauté informatique plus familière d'autres systèmes de type transactionnel.

De manière trop réductrice, ces systèmes décisionnels sont parfois assimilés à leur composante la plus visible, la partie "émergée" de l'iceberg, celle des outils de restitution qui permettent aux utilisateurs d'accéder aux données.

Bien qu'indispensable, cette couche frontale ne recouvre pas, loin s'en faut, l'intégralité du système décisionnel et n'en assure pas toutes les fonctions.

Au contraire, la charge principale de tout projet décisionnel se trouve bien en amont, loin des regards, dans la conception et la mise en oeuvre de cette "boîte noire" que l'on appelle le datawarehouse. Fondamentalement, le rôle du datawarehouse consiste à collecter les données dispersées dans l'entreprise et à les transformer en informations utiles, c'est-à-dire susceptibles d'aider la prise de décision.

Au cours de la présentation, nous essaierons de dévoiler quelques éléments clés de la mécanique interne du datawarehouse, en insistant en particulier sur le rôle central de la modélisation dimensionnelle, et nous aborderons notamment les questions suivantes :

  • Qu'est-ce qu'un datawarehouse par rapport à l'ensemble du système décisionnel ? (présentation générale, définition et objectifs)
  • Qu'est-ce que la modélisation dimensionnelle ? Comment cela fonctionne-t-il ? En quoi cela permet-il de remplir les objectifs fixés au datawarehouse ?
  • Comment met-on en oeuvre ces modèles concrètement ? (structure interne du datawarehouse et mécanique générale)

La richesse du sujet fait que ce thème pourra être abordé en plusieurs parties en fonction des centres d'intérêt de l'auditoire.

EST-IL RAISONNABLE ET POSSIBLE POUR UNE SOCIETE D'ADOPTER DE L'OPEN SOURCE ?

jeudi 23 septembre 2004, Nat Makarevitch, Directeur technique et R&D (Idealx), se définit comme "activiste du logiciel libre" depuis 1991 et est co-fondateur et directeur technique d'une SSII spécialiste de l'opensource.

L'opensource constitue un moyen de réduire la dépendance aux grands éditeurs et prestataires. Est-il efficace, comment et à quel prix ?

Nat Makarevitch traitera en particulier des objectifs, de la sélection et gestion des logiciels, de la conduite des personnels, des approches facilitant une migration efficace ...

Toutefois, notre invité tentera de répondre utilement à toutes les questions portant sur l'opensource.

USAGES DES LOGICIELS COLLABORATIFS ET L'INTEGRATION DE LEURS CONTENUS

jeudi 14 octobre 2004, invité :  Charles Népote, des communautés WikiNi, CraoWiki, WebSemantique.org.

Les usages de logiciels collaboratifs en entreprise se développent. Les Wikis, listes de discussion, messageries instantanées, forums, espaces de partage de fichiers... constituent autant de canaux de partage de l'information. Pour éviter les risques de dispersion, quelles sont les techniques et les bonnes pratiques qui permettent de structurer cette information, intégrer et synthétiser les différents contenus en offrant des possibilités de recherche étendue.

Sont également intervenus pour apporter leur témoignage d'utilisateur et d'animateur dans des contextes communautaires :

LES APPORTS DU WEB SEMANTIQUE PAR RAPPORT AUX APPROCHES CLASSIQUES

jeudi 18 novembre 2004, invité : Eric van der Vlist, Dyomedea et des communautés XMLfr.org, WebSemantique.org.

Le Web Sémantique devrait être, suivant la vision de Tim Berners-Lee, la prochaine étape du World Wide Web. Le chemin qui conduira à ce Web qui saura qualifier le sens de chacune des ses ressources est encore long et cette approche peut paraître utopique. Les premières briques technologiques destinées à la réaliser n'en sont pas moins disponibles et peuvent être utilisées dès aujourd'hui. Elles constituent souvent des alternatives originales permettant d'introduire des "îlots" de sémantique dans des projets ou sites webs "classiques".

LES WIKIS EN ENTREPRISE ET LEURS APPLICATIONS POSSIBLES

jeudi 13 janvier 2005, invité : Ludovic Dubost, XPertNet et animateur de la communauté XWiki

Les Wikis peuvent être utilisés en entreprise de façon différente en fonction de la situation et de l'histoire de l'entreprise au niveau des outils collaboratifs. Ce rendez-vous permettra de rentrer plus en détail sur les usages suivants :

  • le Wiki comme outil Intranet pour une petite entreprise,
  • le Wiki comme outil de partage de connaissance ou de veille technologique dans une grande entreprise,
  • le Wiki comme agrégateur de contenus disparates.

GOUVERNANCE IT ET SERVICE ORIENTED ARCHITECTURE

jeudi 24 mars 2005, invité : François Rivard, Unilog Management

Le sujet de la gouvernance du système d'information devient l'un des principaux discours s'adressant actuellement aux DSI : stratégie, gestion du patrimoine, gestion des services et de leur qualité, cohabitation du changement et de la continuité… Dans ce contexte, quels sont concrètement les moyens d'action et de pilotage ?

Le rôle des Architectures Orientées Services nous semble fondamental : levier d'organisation, de flexibilité fonctionnelle et technologique, de standardisation, ce sujet témoigne d'une convergence d'enjeux qui ne le cantonne pas à un périmètre strictement technologique. La construction d'une SOA implique ainsi un subtil mélange de modélisation amont et de construction itérative, qui se matérialise dans "l'Accostage Urbanisation <--> SOA", ensemble de principes et de techniques qui assurent la réactivité des modèles par rapport au terrain et vice-versa.

CORPORATE PERFORMANCE MANAGEMENT ET BALANCED SCORECARD, NOUVEL ELDORADO DE LA BUSINESS INTELLIGENCE ?

jeudi 19 mai 2005, invité : Jérôme Durieu, Micropole-Univers Consulting

Le sujet de la gouvernance du système d'information devient l'un des principaux discours s'adressant actuellement aux DSI : stratégie, gestion du patrimoine, gestion des services et de leur qualité, cohabitation du changement et de la continuité… Dans ce contexte, quels sont concrètement les moyens d'action et de pilotage ?

Le rôle des Architectures Orientées Services nous semble fondamental : levier d'organisation, de flexibilité fonctionnelle et technologique, de standardisation, ce sujet témoigne d'une convergence d'enjeux qui ne le cantonne pas à un périmètre strictement technologique. La construction d'une SOA implique ainsi un subtil mélange de modélisation amont et de construction itérative, qui se matérialise dans "l'Accostage Urbanisation <--> SOA", ensemble de principes et de techniques qui assurent la réactivité des modèles par rapport au terrain et vice-versa.

SYNDICATION RSS ET FILS DE CONTENUS - ATOMISONS LE WEB : PLACE AUX FLUX !

jeudi 10 septembre 2005, invité : Patrick Chanezon, Evangéliste pour les API AdWords chez Google

RSS et les formats de syndication sont en train d'exploser, au même rythme que le Web à ses débuts, avec autant d'innovations techniques rapides, une barrière d'entrée faible, et un potentiel commercial énorme.

Patrick Chanezon a parlé de cette révolution et donné son point de vue sur ses promesses.

LA GESTION DE LA RELATION CLIENT PAR INTERNET

jeudi 13 octobre 2005, invités : Olivier Njamfa - President & CEO, Eptica, Thierry Gandilhon, Vice President & CTO, Eptica

Internet se positionne aujourd'hui comme un canal incontournable de la gestion de la relation client. Quelle est le panorama actuel ? Comment font les sociétés pour traiter ce canal ? (Gestion des e-mails entrants, notamment.) Quelles sont les bonnes pratiques à mettre en place ? Quelles technologies et comment se les approprier ?

CONTENUS ET LOGICIELS LIBRES : QUELLES LICENCES CHOISIR ?

jeudi 3 novembre 2005, invité : Jean-Baptiste Soufron, Doctorant au CERSA-CNRS Paris 2 et responsable juridique de la fondation Wikipedia

Pour y voir plus clair dans le maquis des licences open source pour le logiciel (GPL, etc.) et pour le contenu (Creative Commons, etc.), Jean-Baptiste Soufron partagera son expérience juridique sur ce sujet. Ce sera également l'occasion, dans la partie discussion qui suivra, d'éclairer certaines clauses de contrats de mise à disposition de services collaboratifs comme les wikis, blogs…

WEB 2.0 : MYTHE ET REALITE

jeudi 1er décembre 2005, invité : Eric van der Vlist, Dyomedea & XMLfr.org

Web 2.0 est un terme souvent utilisé pour désigner ce qui est perçu comme une transition importante du World Wide Web, passant d'une collection de sites Web à une plate-forme informatique à part entière, fournissant des applications web aux utilisateurs. Les défenseurs de ce point de vue soutiennent que les services du Web 2.0 remplaceront progressivement les applications de bureau traditionnelles. (source : Wikipedia).

Eric van der Vlist nous propose de faire le point sur le Web 2.0 pour évaluer sa réalité actuelle au-delà du mythe marketing et essayer de prévoir ses impacts techniques et fonctionnels.

Voir article sur XMLfr.

ERGONOMIE DES LOGICIELS ET DESIGN DES INTERFACES : DEUX NOMS POUR UNE MÊME DISCIPLINE ?

jeudi 5 janvier 2006, invité : Teresa Colombi, LudoTIC

L'ergonomie selon sa définition officielle est la discipline scientifique qui vise à comprendre les interactions entre les êtres humains et les machines. Concrètement cela se traduit en une amélioration des performances du système homme-machine, permettant aux utilisateurs de commettre moins d'erreurs, d'être plus efficaces et plus rapides, de saisir plus facilement le sens des messages envoyés par l'ordinateur, etc. Dans le contexte concurrentiel actuel dans les TIC, l'ergonomie peut donc être l'un des différenciateurs clé d'un produit, en maximisant ses chances de succès.

BLOGS, NETWORKING, COMMUNAUTES VIRTUELLES : L'INTERNAUTE 2.0 EST-IL UN ANIMAL SOCIAL ?

mercredi 1er mars 2006, invité : Jérôme Delacroix, cooperatique.com

En 2006, l'Internet grand public rentre dans sa dixième année. Un âge canonique dans le domaine des nouvelles technologies. Pourtant, le Web n'a jamais été aussi en forme. Blogs, wikis et réseaux sociaux déferlent et l'on redécouvre que les internautes ont envie de se parler. Alors, après l'Internet originel (celui de l'accès généralisé à l'information et la connaissance), après l'Internet marchand (celui du grand supermarché mondial), assiste t-on à l'avénement de l'Internet social, celui qui crée des liens entre les gens et pas seulement entre des pages Web ? Et alors, de quels changements cette mutation est-elle porteuse pour l'économie et la société ?

Voir articles sur cooperatique.com et XMLfr.org.

CONCEPTION DES SYSTÈMES D'INFORMATION : DES PISTES POUR MARIER XML ET UML

jeudi 6 avril 2006, invité : Antoine Lonjon, Méga

Antoine Lonjon est co-auteur, avec Jean-Jacques Thomasson, du livre "Modélisation XML" paru fin 2005 aux éditions Eyrolles, qui passe en revue tous les cas de figures de l'utilisation de UML pour modéliser des schémas XML.

LES ARCHITECTURES VIRTUELLES : LE WEB COMME PUISSANCE DE CALCUL, ESPACE DE STOCKAGE ET RÉSERVOIR D'APPLICATIONS À LA DEMANDE -- EXEMPLES, ENJEUX, CONSÉQUENCES

jeudi 12 octobre 2006, invité : Ludovic Dubost, XPertNet, XWiki.org

En 1984, John Gage de Sun Microsystems lançait l'idée que "the network is the computer".

Jusqu'ici le manque de maturité des technologies, couplé au trop faible taux d'équipement en PC et connexions à haut débit, n'avaient pas permis la mise en oeuvre à grande échelle d'un tel principe, ni l'éclosion de logiciels adaptés.

Aujourd'hui, l'augmentation rapide des équipements, de leur puissance, des capacités de stockage et des liaisons à haut débit à connexion permanente crée une taille suffisante pour l'émergence d'un marché de masse intéressant au premier chef les entreprises. L'évolution des technologies accompagne le mouvement en accroissant la souplesse des montées en charge (Web-scale computing, architectures GRID...) et la continuité de service (technologies RAID, architectures redondantes...)

L'offre se dessine progressivement sur le marché. D'un côté les hébergeurs proposent de plus en plus souvent des offres banalisés à très bas coûts (OVH ou Dedibox). D'autre part, les spécialistes des Web Services se mettent en place. Amazon s'est d'ores et déjà positionné très fortement en annonçant successivement Amazon S3 (Web Services Store) et Amazon EC2 (Elastic Computer Cloud). On pressent également depuis un moment l'engagement plus que probable de Google sur cette voie dont GoogleApps et le projet supposé "GoogleDrive" seraient les embryons.

Ce nouveau paysage conduit à de nouvelles architectures et de nouveaux enjeux :

  • comment gérer au mieux la demande fluctuante de puissance
  • quelles applications et données garder en interne ou placer en réseau
  • quels problèmes de sécurité pour ses données et applications : disponibilité, confidentialité...
  • quel type d'applications on-demand
  • quelles contraintes d'organisation, de déploiement...

UN AN D'ÉTUDES EN CHINE : LA VIE, LES DIFFÉRENCES CULTURELLES AVEC CE PAYS EN PLEIN ESSOR

jeudi 2 novembre 2006, invité : Jérémi Joslin, XPertNet, XWiki.org

Jérémi Joslin, étudiant à l'Epitech (informatique) en dernière année, est parti poursuivre ses études en Chine pendant dix mois. Il partageait la vie des étudiants chinois dans une université de Dalian, située à l'est de la Chine. Jérémi a partagé son expérience.

"WEB 2.0 - UN AN APRÈS : RISQUES ET PERSPECTIVES".

jeudi 30 novembre 2006, invité : Eric van der Vlist, Dyomedea & XMLfr.org

Eric van der Vlist revient un an après son exposé Web 2.0 : mythe et réalité pour faire le point sur l'évolution du Web 2.0.

Co-auteur d'un livre sur le sujet Professional Web 2.0 Programming, ISBN: 0470087889, éditions WROX, il propose de développer plus particulièrement les points suivants :

  • Quels outils de développement pour le Web 2.0 ?
  • Web 2.0 et data lock-in
  • Qu'en est-il de la bulle 2.0 ?
  • Le Web 2.0 est-il utilisable en entreprise ?
  • Le Web 2.0 est-il dépassé ?

Lire l'article d'Eric van der Vlist Web 2.0, risques et perspectives sur XMLfr.

Articles cités par Charles Népote au cours du débat qui a suivi :

OUTILS À METTRE EN PLACE DANS TOUT PROJET OPEN SOURCE

jeudi 8 mars 2007, invité : Cédric Carbone, Talend

Directeur Technique de Talend, éditeur de l'ETL Open Source T.O.S., Cédric Carbone a partagé son retour d'expérience autour des outils à mettre en place afin de répondre aux problématiques des projets Open Source.

LES BIBLIOTHÈQUES NUMÉRIQUES - GOOGLE VS EUROPEANA : UN CHOC DES CULTURES ?

jeudi 26 avril 2007, invité : Laurent Guillo , Six & Dix

Les bibliothèques numériques :

  1. les méthodes de constitution, les techniques de numérisation, la structuration des données.
  2. Les enjeux culturels et les grands projets actuels (Gallica, Google Book Search (ex-Google Print), Europeana...)

OPENDOCUMENT CONTRE OPENXML: LA BATAILLE DES STANDARDS BUREAUTIQUES - FAUX DÉBATS D'EXPERTS, VRAIS ENJEUX POLITIQUES

jeudi 7 juin 2007, invité : Jean-Marie Gouarné , Genicorp

La reconnaissance du format OASIS OpenDocument (ODF) en tant que standard ISO a été salué par certains comme l'annonce d'une prochaine redistribution des cartes sur le marché de la bureautique. Aujourd'hui, la promotion du format concurrent ECMA Office Open XML (OOXML) complique la situation et suscite un débat très technique mais dans lequel, compte tenu de l'énormité des enjeux, la politique est omniprésente. Malgré une convergence unanime vers XML, reconnu comme fédérateur universel, le débat sur les formats bureautiques ressemble à un dialogue de sourds.

Le système international de normalisation saura-t-il apporter les réponses attendues et défendre sa crédibilité dans ce domaine sensible où le consensus est improbable et où quelques ténors de l'informatique, dont Microsoft, IBM et Sun, cherchent à placer leurs pions ?

Quels sont les enjeux pour les administrations, qui suivent l'affaire de près, et pour les entreprises, encore largement indifférentes ?

Une présentation faite par Jean-Marie Gouarné, à l'occasion des 8e rencontres mondiales du logiciel libre à Amiens en juillet 2007, illustre les points abordés ci-dessus et est téléchargeable sur son site personnel.

PARTAGES D'EXPÉRIENCES SUR LA VEILLE : MÉTHODES ET OUTILS

jeudi 20 septembre 2007, invités :

Sur le ton du Web 2.0 (ici Irish Pub 2.0), ce rendez-vous a été consacré au thème du partage d'expériences sur la veille : méthodes et outils. Sur le mode du speed dating (ici speed speaking), organisé selon un format 7 mn + 7 mn. Pendant 7 minutes, un invité a exposé sa façon de faire de la veille. Pendant 7 minutes, les participants ont interagit avec l'invité sous la forme de questions-réponses.

VIE PRIVÉE : DE LA CRÉATION DE LA CNIL À FACEBOOK ET AU FICHAGE DE L'ADN

jeudi 25 octobre 2007, invité : Jean-Baptiste Soufron, Avocat à la Cour

Jean-Baptiste Soufron a précisé en quoi la loi Informatique et Libertés de 1978, qui a conduit à la création de la CNIL, répond bien à cette question. Il a souligné comment les évolutions actuelles, liées à de nouveaux usages comme Facebook ou le fichage de l'ADN, pourraient faire de plus en plus exception et conduire "vers une société de surveillance", pour reprendre le titre d'une conférence des commissaires à la protection des données des "CNIL" européennes.

AU-DELÀ DU DESKTOP SEARCH : LE POSTE DE TRAVAIL SÉMANTIQUE ET SOCIAL, POUR MIEUX ORGANISER ET UTILISER SES DONNÉES

jeudi 6 décembre 2007, invité : Stéphane Laurière, XWiki SAS

Stéphane Laurière a abordé le sujet du poste de travail sémantique. Acteur du projet de recherche européen Nepomuk, Stéphane a illustré les avantages d'une telle technologie sur le poste de travail qui va plus loin que les techniques de recherche traditionnelles. L'analyse sémantique des contenus apporte de nouveaux services dans le classement et facilite la réutilisation des documents.

Stéphane a exposé le positionnement du projet par rapport à d'autres initiatives, ses réalisations concrètes en termes d'outils et d'ontologies, ses déclinaisons dans les environnements KDE et Eclipse et les retombées potentielles d'une telle approche pour la gestion de connaissances dans l'entreprise. Stéphane a présenté également les prochaines étapes du projet et la création d'un groupe de travail permanent sur le sujet au-delà du projet, ouvert à tout professionnel souhaitant contribuer à l'initiative.

XML A DIX ANS

jeudi 21 février 2008, invité : Eric van der Vlist, Dyomedea,

Créateur du site francophone XMLfr, Eric se propose de revenir sur les points marquants de ces dix premières années qui ont permis à XML de devenir aujourd'hui incontournable et présent sur tous les ordinateurs.

DU LIVRE À INTERNET (ET RETOUR) : LA QUESTION DES USAGES, UN COMPARATIF ENTRE LA SUPPOSÉE TRANSPARENCE DU LIVRE ET INTERNET

jeudi 27 mars 2008, invité : Alexandre Monnin, Université Paris I Panthéon-Sorbonne,

A l'heure où une nouvelle génération de livres électroniques semble enfin en mesure de donner de la consistance à cette interrogation, à la hauteur des attentes suscitées, la question de l'avenir du livre apparaît plus que jamais dans l'air du temps.

Seulement, sans attendre la confirmation de ces promesses, le rapport au livre s'est peut-être d'ores et déjà modifié du fait de l'émergence d'Internet. Si l'on parle tant, aujourd'hui, de son avenir supposé, c'est qu'à quelques exceptions près il nous apparaît tel un support transparent dont les possibilités auraient été explorées, voire épuisées.

Certes, on ne saurait nier, le moins du monde, l'importance grandissante de ses nouveaux avatars. Cependant, examiner cette question exige que soient pris en compte les usages qui ont accompagné la diffusion auprès du grand public du Web. Un medium qui se caractérise par une transparence moindre, et dont il s'avère que nous pouvons personnaliser, dans une très large mesure, les contenus et leur présentation (y compris les espaces publicitaires, d'où un contraste très net avec la télévision, elle aussi en concurrence avec le livre).

Loin d'aboutir à une "dématérialisation" du support écrit, cette absence de transparence des "nouveaux média", leur opacité, pose à nouveaux frais la question des usages parallèlement à celle de la matérialité des supports, livre compris ; fût-il électronique ou non.

Quelques outils présentés à l'occasion de cette soirée :

Quelques liens vers des livres ou auteurs mentionnés à cette occasion :

L'ARCHITECTURE EST UNE LOI : COMMENT LES CHOIX TECHNIQUES ENCOURAGENT UNE POLITIQUE

jeudi 17 avril 2008, invité : Stéphane Bortzmeyer, AFNIC,

Les nombreux débats et discussions sur Internet séparent souvent les choix considérés comme purement techniques (comme les décisions de l'IETF sur les protocoles ou celles des RIR comme le RIPE-NCC sur l'allocation d'adresses IP) des questions considérées comme politiques, voire politiciennes, comme les règles d'enregistrement d'un domaine dans ".com" ou ".fr".

En fait, tout choix a une composante politique. Nous en verrons notamment trois exemples :

  • la politique d'allocation d'adresses IP, notamment à l'heure où les adresses IPv4 s'épuisent.
  • les noms de domaines en Unicode, avec la proche création d'un nouveau groupe de travail qui révisera la norme, sur un sujet très contesté.
  • le cahier des charges de la future architecture de l'Internet, probablement basée sur une séparation de l'identificateur et du localisateur. Cette architecture doit-elle donner la priorité aux opérateurs ou bien aux utilisateurs ?

Le texte de la présentation de Stéphane Bortzmeyer est en ligne sur son blog.

SYNCHRONISATION EN P2P DE DOCUMENTS COLLABORATIFS GÉRÉS OFFLINE

jeudi 22 mai 2008, invité : Ludovic Dubost, XWiki,

Jusqu'ici, la plupart des architectures collaboratives imposent un modèle de stockage centralisé des documents. Elles limitent la collaboration aux moments où les utilisateurs sont connectés et privent ceux qui sont offline d'intervenir sur leur contenu. Une solution originale consiste à ne plus considérer un stockage maître unique mais à répliquer un sous-ensemble de documents sur des postes utilisateurs distants, lesquels se synchroniseront deux à deux, en mode P2P, quand ils seront connectés au réseau. Cette gestion distribuée des documents accroît ainsi leur disponibilité et autorise de nouveaux usages. Elle pose aussi de nouveaux défis, notamment dans l'analyse des contributions à fusionner, la résolution d'éventuels conflits et la gestion de la sécurité.

IMPACTS DES NTIC SUR L’ÉDITION

jeudi 26 juin 2008, invité : Xavier Cazin, ancien directeur éditorial des Éditions O’Reilly France et co-animateur du blog immateriel.fr,

La discussion a porté sur l’impact des nouvelles technologies sur l’industrie de l’édition, qu’elle soit traditionnelle ou numérique.

VERS UNE INFORMATIQUE RESPONSABLE / POSITIVE

mercredi 11 février 2009, invité : Frédéric Bordage, journaliste et consultant indépendant - animateur du blog greenIT.fr,

L'informatique a des effets de levier puissants sur nos comportements. En modifiant certaines de nos habitudes, l'informatique contribue à réduire la pression environnementale tout en développant une nouvelle économie plus positive. Exemple : co-voiturage => auto-partage => télétravail. C'est bien plus efficace que tous les progrès promis par les constructeurs automobiles et cela contribue à aller vers la "low carbon economy".

GOOGLE EDITIONS — UN COUP DE PIED DANS LA FOURMILIÈRE

jeudi 3 décembre 2009, invité : Xavier Cazin, directeur d'immatériel.fr.

Tout en continuant leur campagne de numérisation d'ouvrages issus des bibliothèques, Google ont annoncé il y a un mois qu'ils entreraient pour de bon dans l'industrie de l'édition numérique en 2010. Les principaux groupes d'édition se sentent menacés, mais n'ont pas l'air de trop savoir comment réagir.

    Si menace il y a, quelle est-elle ?
  • Quel(s) rôle(s) Google peut jouer dans le paysage éditorial, et quelles sont les conséquences de ce positionnement selon qu'on est auteur, éditeur, libraire ou... lecteur.
  • Quels peuvent être les arguments de l'édition numérique pour ne pas voir son avenir dépendre entièrement de ce nouvel acteur.

CLOUD COMPUTING, UN TSUNAMI QUI DÉMARRE EN 2010

jeudi 7 janvier 2010, invité : Louis Naugès, Revevol.

Le Cloud Computing a été l'expression la plus utilisée en 2009, et à juste raison.

    Il ne s'agit pas d'une mode passagère, mais d'une révolution très profonde qui va impacter tous les secteurs d'activité de l'informatique :
  • Matériels : PC, serveurs...
  • Logiciels : postes de travail, OS, bureautique...
  • Services : SSII, Outsourcing...
  • Equipes informatiques internes : production, développement, assistance, exploitation...

LE TAGGING SÉMANTIQUE OU LA VÉRITABLE NAISSANCE DU TAGGING

jeudi 11 février 2010, invité : Alexandre Monnin, Université Paris I Panthéon-Sorbonne.

2009 aura permis l'émergence d'un technologie nouvelle. Le tagging... Bien entendu, de delicious à Flickr en passant par Gmail, Vista Gallery, Lignes de Temps, Nepomuk (Mandriva Linux 2010), LibraryThing ou encore Drupal, difficile aujourd'hui de recenser les applications (services de social bookmarking, de partage de photos en ligne, d'annotations critiques, OS, semantic desktops et autres CMS) qui renoncent à employer le tagging.

Pourtant, malgré cette large diffusion, la spécificité de cet outil demeure la plupart du temps masquée. Masquée par la référence obligée aux systèmes d'informations antérieurs (thésaurus et autres classifications bibliothéconomiques). Masquée également par l'omniprésence du "mot-clef", censé tenir lieu de tag, offusquant ainsi sa spécificité dont la compréhension s'impose pourtant à quiconque souhaite valoriser ce type d'applications. Masquée enfin par l'implémentation qui en est généralement proposée.

Très vite, des limites apparaissent. En témoigne le nombre élevé d'initiatives visant à rendre compte du tagging par l'intermédiaire de modélisations prenant la forme d'ontologies pour le Web Sémantique. Loin d'être si simple, la tâche, entamée sitôt qu'apparurent les premiers services en ligne de partage de signets, de Muxway à delicious, se poursuit encore aujourd'hui.

    Cette réunion permettra de faire le point sur le rapprochement opéré très tôt entre tagging et technologies du Web sémantique et de revenir, tout naturellement, sur les dernières innovations en matière de "tagging sémantique". Ce sera également, pour nous, l'occasion de présenter la "NiceTag ontology" à l'élaboration de laquelle nous avons participé, modèle destiné :
  • à expliciter le fonctionnement du tagging ;
  • à encourager les usages les plus divers en prenant en charge l'expression de leur sémantique ;
  • à améliorer, au plan technique, l'interopérabilité entre services (en proposant un modèle, le plus large possible, capable de subsumer tous ceux qui l'ont précédé : l'ontologie de Newman, Tagont, SCOT, MOAT, SIOC, CommonTag, etc.).

L'objectif est bel et bien de rendre possible le tagging "traditionnel". Or, pour ce faire, le recours aux technologies du Web sémantique s'avère indispensable. La transition (indolore) entre tagging et tagging sémantique prend ainsi tout son sens.

Quelques ressources proposées par Alexandre Monnin :

Qu'est-ce qu'un tag ?
(Ma position a évolué depuis) [fr]
NiceTag
La première présentation de NiceTag en anglais [en]
NiceTag
Un article récent, en français, qui étend le périmètre du précédent [fr]

NiceTag
La première présentation de NiceTag en anglais [en]

... Et n'oublions pas non plus :

NiceTag
La présentation sur Slideshare [en]

CODES CACHÉS ET GRANDS DESSEINS

jeudi 4 mars 2010, invité : Pierre Berloquin, Créalude.

Créateur de jeux, ludologue et auteur de nombreux livres sur le sujet, Pierre Berloquin se propose de nous éclairer sur quelques images fortes de son dernier livre consacré à une histoire des codes dans leurs divers aspects, en communications, chiffrement, logique, religion, mysticisme, esthétique, de Pythagore à nos jours. Pierre est notamment co-fondateur de la revue Jeux & Stratégie.

QUEL AVENIR POUR L'EPAPER ?

mardi 30 mars 2010, invité : Jean-François Declercq, AppePaper.com

Cette année (2010) le marché des eReaders connaît une évolution importante :

  • On voit les premiers lecteurs ePaper en vente à la FNAC
  • Le Kindle d'Amazon atteint une certaine vitesse (3 millions d'exemplaires)
  • l'iPad pourra être pré-commandé le 3 avril
  • Google s'apprête à lancer Google Editions
  • Les solutions de lecture sur téléphone se développent à toute vitesse (ex: Issuu.com sur Android)

Ceci crée un marché technologique complexe pour les lecteurs, les éditeurs, les écrivains.

Dans cette jungle, on peut se poser deux questions :

1. Y a-t-il encore un avenir pour le papier électronique ?

En effet, la plupart des liseuses utilisent des technologies écrans plats (LED, OLED) combinées à un écran "touch" (iPad, Google Tablet, téléphones...), ce qui permet une meilleure ergonomie grâce à une meilleure réactivité de l'écran et le support de la couleur. Cependant, l'encre électronique évolue et a quelques atouts. Quelques cas d'utilisation seront décrits. (plus de 30 cas d'utilisation du papier électronique identifiés).

2. Quel livre électronique choisir ?

Que je sois lecteur, écrivain, éditeur, face aux poids lourds que sont Apple, Google, Amazon, lequel choisir ? iPad, Kindle, Sony Reader, Bookeen ? Existe-t-il une alternative ? Comment faire du livre "durable" ?

Une approche "architecturale" permet de découper le problème et faire des choix stratégiques. Quelques scénarios seront présentés pour illustrer :

  • Pourquoi Amazon écrit des applications pour l'iPad ?
  • Quelle est l'importance des standards comme ePUB ?
  • Quelle est l'importance des DRM ?

LES TECHNIQUES D'IMPROVISATION AU SERVICE DE L'ENTREPRISE : GESTION DE PROJET, RELATION CLIENT, MANAGEMENT, MÉDIAS...

mercredi 28 avril 2010 (cinquantième édition), invitée : Aurélie Le Guillou, Adcoate.com

L'improvisation théâtrale est du théâtre spontané sans texte ni mise en scène préparés. Il s'agit de savoir écouter, accepter les propositions des autres acteurs, interagir en conséquence ou encore présenter clairement ce que l'on apporte pour construire au mieux les histoires mises en scène, et tout cela en respectant autrui.

L'écoute, l'acceptation, la construction ou le respect de l'autre sont des valeurs fondamentales en entreprise.

Les principes fondamentaux de l'improvisation théâtrale s'appliquent au quotidien personnel et professionnel de chacun.

Évoluant dans le monde de l'improvisation théâtrale depuis 4 ans, Aurélie voit chaque jour de nouveaux parallèles entre les techniques d'improvisation et celles de la gestion de projet, de la relation client du management ou des médias.

Nous avons ainsi fait le point ensemble sur ce que l'improvisation théâtrale peut apporter au monde de l'entreprise.

E-LEARNING 2.0 : RÉUSSITE PÉDAGOGIQUE ET COLLABORATIVE ?

ieudi 10 juin 2010, invité : Aurélien Goll, Epistema.

Le E-learning 2.0 est un "buzzword" qui regroupe un certain nombre de pratiques et de technologies liées à la formation en ligne. Il permet d'assouvir notre soif d'apprendre par l'expérience acquise sur les réseaux sociaux. Pouvons-nous affirmer que les interactions entre le facilitateur, les apprenants et le tuteur pédagogique sont la clé de la réussite pédagogico-collaborative ?

POURQUOI UNE PHILOSOPHIE DU WEB ?

mercredi 29 septembre 2010, invité : Alexandre Monnin, Université Paris I Panthéon-Sorbonne et organisateur de PhiloWeb 2010.

Le Web est un assemblage hétérogène de standards, de serveurs, de liens, de langages, de personnes... De cet équilibre en constant mouvement est né un objet singulier, bien éloigné de l'image d'hypertexte décentralisé qu'il renvoyait à ses débuts. Paradoxe d'une création humaine que nous commençons seulement à comprendre... En distinguant son architecture de son écologie, bouleversée par l'hégémonie de moteurs de recherche et l'ascension récente des réseaux sociaux, on peut tenter de distinguer la "nature", relativement stable, de cet artefact, de son histoire bouillonnante.

L'architecture du Web intéresse spécifiquement la philosophie en ceci que les objets qu'elle mobilise prolongent, en les incarnant techniquement, des concepts philosophiques essentiels : noms propres, ontologie, signification, objet, etc. Or le paradoxe tient à ceci qu'au moment même où ces concepts acquièrent une existence fondée techniquement, ils s'en trouvent du même coup profondément modifiés.

Nous reviendrons sur le projet de constitution d'une philosophie du Web au centre du Symposium International Web et Philosophie (PhiloWeb 2010) du samedi 16 octobre 2010.

RÉVOLUTION COPERNICIENNE EN SI : L'INDIVIDU AU CENTRE DES ÉCHANGES / LE 2.0 DANS LA SANTÉ

jeudi 24 mars 2011, invité : Philippe Ameline

Comment créer l'’Internet des gens dans leur naturelle complexité ?

Dans un tel cadre, la eSanté contemplerait le plus vaste système de services à la personne depuis les yeux de chaque « Monsieur Dupont » afin de suivre et d’organiser au long cours le fil de son parcours de santé. Analyser ce changement de référentiel, du professionnel au personnel, avec l’exemple de la « Ligne de vie », nous permettra de prévoir les évolutions considérables de ce domaine, et les opportunités qu’elles induisent.

Au-delà, en posant que la santé est un actif parmi d’autres, on pourrait imaginer que ce système d’information personnel, qui incarne l’individu, ses projets et ses risques, devrait naturellement fédérer les systèmes d’information de ses prestataires de service et, par exemple, donner un sens aux « objets sociaux ».

Le concept d’émergence sera notre fil conducteur pour esquisser les ruptures technologiques nécessaires.

Philippe Ameline est Ingénieur des Mines, entrepreneur et spécialiste de la gestion des connaissances en santé. Porteur du projet « Ligne de vie », il est également partenaire de plusieurs startups.

LIBREOFFICE : UNE DÉMARCHE OPEN SOURCE PARTICULIÈRE

jeudi 21 avril 2011 invité : Charles-H. Schultz

Les projets en logiciel libre prennent leur indépendance : y a t-il un modèle durable pour des projets de développement de logiciel libre et open source qui ne passent pas par le sponsoring de grands éditeurs ?

Pourquoi certains projets "forkent"-ils et d'autres pas ? Nous assistons au retour de l'exigence de transparence et saine gouvernance. Mais qu'est-ce que la gouvernance sur Internet ? Étude du cas LibreOffice.

Note : LibreOffice est un fork du projet OpenOffice, formé à la suite de l'acquisition de Sun Microsystems par Oracle.

Charles-H. Schulz est associé du cabinet Ars Aperta et membre du directoire du consortium OASIS. Il a récemment participé à la création de la Document Foundation.

DÉPLOYER LE WEB 2.0 POUR ANTICIPER LE WEB SÉMANTIQUE (WEB 3.0)

jeudi 19 mai 2011 invité : Gabriel Kepeklian,

Gabriel Kepeklian est conduit, du fait de ses fonctions dans la R&D d"une grande SSII, à conseiller de grandes entreprises pour leurs projets Web 2.0.

Il est intéressé par le phénomène et l'usage qui, tous les deux, informent nos décisions d'adhérer ou de refuser le 3.0.

L'ouverture des données, c'est une promesse. Comment sera-t-elle tenue ? A quelles conditions ?

Comment dépasser le discours technique pour trouver un pitch juste et compréhensible ?

Quand on rédige un communiqué de presse avec son responsable communication, comment ne pas découvrir un abîme !

NOSQL : UNE APPROCHE ALTERNATIVE DES BASES DE DONNÉES

jeudi 22 septembre 2011 invité : Jean-Marie Gouarné

Depuis un demi-siècle, les systèmes de gestion de bases de données sont conçus pour mémoriser, traiter et restituer des informations à structure fixe et prédéfinie. Ils correspondent à une vision de l'information à base de tables et de formulaires prédéfinis, généralement associée au langage SQL (Structured Query Language), et liée aux pratiques administratives et aux origines mécanographiques de l'informatique de gestion traditionnelle.

Cette vision, bien adaptée aux traitements de routine dans des environnements "sous contrôle", s'est imposée comme un dogme dans la pensée des informaticiens. Cependant, les artifices de modélisation qu'elle implique sont un facteur de rigidité pour les projets et sont incompatibles avec les nouveaux usages initiés par les grands acteurs du web (Google, Amazon, Facebook, LinkedIn, Twitter, ...) caractérisés notamment par des besoins de traitement continu et intensif de documents à structures complexes et non prédéfinies. Or ces nouveaux usages, après le grand public, pourraient s'imposer massivement dans les systèmes d'information des entreprises.

Le "NoSQL" désigne un ensemble hétérogène (voire anarchique) d'outils et de techniques destinés à mémoriser et à rechercher l'information "telle qu'on la sent" ou "telle qu'on la veut" en tournant résolument le dos aux dogmes classiques de la modélisation tabulaire, ainsi qu'aux modes de pensée et aux choix d'architecture informatique et d'organisation qui s'y rattachent. Son avenir n'est pas encore prévisible, mais le succès d'estime du concept ainsi que la vitesse à laquelle il a donné lieu à des implémentations opérationnelles en font un sujet de veille technologique incontournable.

IPV6, POURQUOI LE FAIRE ET POURQUOI CELA NE SE FAIT PAS

mercredi 5 octobre 2011 invités : Rémi Després et Stéphane Bortzmyer

L'épuisement progressif des adresses IPv4 de l'Internet était inévitable et parfaitement prévisible. Le premier registre régional à connaître la famine a été l'APNIC cette année. Pourtant, comme souvent lorsqu'une ressource finie et non renouvelable s'épuise, certains arrivent encore à nier l'évidence.

Malgré cette pénurie de plus en plus grande, matérialisée par la difficulté croissante des acteurs à obtenir leurs adresses IPv4, le déploiement d'IPv6 n'a pas été spectaculaire, loin de là. La France est à peu près le seul pays où des déploiements non anecdotiques ont été constatés (par exemple, 40 % des domaines de .FR ont au moins un serveur de noms accessible en IPv6). Mais une panne IPv6 récente de l'opérateur français Free a rappelé qu'environ la moitié du trafic IPv6 mondial dépend encore de ce seul opérateur.

Pourquoi ? Qu'est-ce qui explique ce déni des décideurs ? Pourquoi parle-t-on tant d'IPv6 et en fait-on si peu ? Y a-t-il des problèmes techniques qui gèneraient la transition ? Y a-t-il un refus politique ? Ou bien simplement un problème de gouvernance ? Le marché est-il capable de prendre des décisions dans les cas où une action collective est nécessaire ?

Aucune réponse définitive ne sera donnée lors de cette réunion mais des tas de questions seront posées. Les invités sont Rémi Després, vétéran des réseaux informatiques, participant actif à l'IETF et auteur du RFC 5569, le document qui décrit la technique utilisée par Free pour déployer rapidement IPv6 sur son réseau existant, et Stéphane Bortzmeyer, ingénieur à l'AFNIC (registre du domaine de tête .FR), blogueur (notamment sur IPv6) et formateur (notamment sur IPv6).

DÉVELOPPER DES APPLICATIONS WEB HTML5 MOBILES : PANORAMA DES SOLUTIONS

mercredi 14 mars 2012 invité : Philippe Antoine, Softeam

Au menu :

  • Anciens / nouveaux problèmes : Doctype, Quirksmode / Vendor prefixes
  • Data : Formulaires
  • Mobile : Touch, drag and drop, Viewport, media queries
  • Présentation : Typographie
  • Storage : côté client en offline, se synchroniser ensuite
  • Prototyper une application REST avec CouchBase
  • File Access : Export/Backup des données utilisateur
  • BrowserId
  • Nuts and Bolts : Web intents
  • Et après ? : CSS shaders, CSS regions, WebRTC...

XML, QUE RESTE T-IL APRÈS LA VAGUE ?

jeudi 12 avril 2012 Emmanuel Lazinier, ex-évangéliste des technologies Web au ministère de la défense, créateur du premier site sur XML en France et Eric van der Vlist, Dyomedea

Emmanuel Lazinier : "XML et le grand public : un rendez-vous manqué"

Lorsque XML est apparu sur la scène informatique, il a suscité de grandes espérances, et en particulier, en ce qui me concerne tout au moins, celle de contribuer significativement à réduire la véritable fracture numérique : celle qui sépare les "lettrés" du numérique de l'immense majorité des simples "alphabétisés". Plus de treize ans après il faut reconnaître que ce rêve ne s'est pas réalisé, et je souhaite inviter les participants à réfléchir avec moi sur cet espoir déçu :

  • était-il utopique ?
  • s'il ne l'était pas, qu'est-ce qui a manqué pour qu'il se réalise ?
    • du côté du public (ignorance/peur de l'informatique en tant que science/technologie ?)
    • du côté des professionnels
      • ont-ils trop privilégié XML en tant que solution à leurs problèmes immédiats ?
      • ont-ils failli à fournir au grand public les outils qui lui auraient permis de mettre plus facilement "le pied à l'étrier" ?
      • ont-ils eu tort de ne fournir au grand public que des outils qui le dispensent d'être tant soit peu informaticien ?

J'espère que ce sujet pourra conduire à une discussion intéressante, mêlant analyses culturelles et technologiques.

Eric van der Vlist :

XML a été créé pour "mettre SGML sur le Web". Quatorze ans plus tard et en dépit d'un succès inconstestable, XML est abandonné sur le Web au profit de HTML et de JSON. Comment expliquer cet échec et que reste t-il de XML maintenant que le "hype" est retombé ?

OPEN DATA : ACCÈS LIBRE ET RÉUTILISATION DES DONNÉES PUBLIQUES

ieudi 13 septembre 2012, soixantième édition, invité : Bruno Seznec, Ministère de l'économie et des finances.

Suite à la lecture d'un livre de Simon Chignard et la participation à quelques événements, nous essayerons de présenter les grands mouvements de l'Open Data, à la croisée de nouveaux services, dans les transports par exemple, et des problématiques techniques XML, Big Data, no Sql etc... Le débat sera lancé !

Notes de lecture sur Open Data de Bruno Seznec à télécharger en format PDF.

RETOUR SUR LES PROJETS SEMANTICPEDIA ET DBPEDIA FRANCOPHONE. POURQUOI ET COMMENT "SOCIALISER" LE WEB SÉMANTIQUE : CONTRIBUTION, CONTROVERSE ET COSMOPOLITIQUE

ieudi 18 octobre 2012, invité : Alexandre Monnin, Paris 1/IRI/INRIA.

Financé par le Ministère de la Culture et réalisé par une équipe de l'INRIA (Wimmics) avec le soutien de l'association Wikimédia France, le projet SemanticPedia qu'a co-initié Alexandre Monnin, vise à proposer une plate-forme pour accueillir, en version sémantisée, les différents projets francophone de la Fondation Wikimedia. Le premier d'entre eux, actuellement en phase de finalisation, n'est autre que Dbpedia en français. Principal jeu de données du Linked Data Cloud (nuage de données liées), Dbpedia fournit à de très nombreuses applications les données qui leurs sont nécessaires du fait de sa versatilité. Entée sur la contribution des wikipédiens, elle fournit, en première lecture, une "base de connaissances" qui évolue constamment, résolvant ainsi, à mi-chemin entre le Web social participatif et l'automatisation du Web de données, l'équation impossible des systèmes experts ou des thésaurus documentaires, sans cesse menacés d'obsolescence.

Il s'agit également, à travers un tel projet, de repenser le lien entre Wikipédia et Dbpedia pour comprendre ce qui s'y joue. Outre la constitution d'un écosystème de données pour les entreprises comme les institutions culturelles, portant sur tous les sujets, publiquement accessibles et usant de formats interopérables facilitant leur réutilisation, le couplage Wikipédia/Dbpedia reflète un nouveau régime de l'objectivité, marqué par la controverse, la co-construction des savoirs et leur caractère incertain. Wikipédia, en accordant une place essentiel aux savoir positifs, aux faits, démontre, sur une échelle inédite, que ce sont bien les fait eux-mêmes que l'ont soumet à la controverse et les objets qui sont, aujourd'hui plus que jamais, provisionnels.

Après une introduction portant sur le contexte institutionnel, et à quelques jours de sa présentation publique officielle, nous introduirons à ce Dbpedia francophone en insistant sur le fait qu'outre le passage au français, bénéficiant des nombreux retours d'expérience accumulée au cours des dernières années, il entend fournir une version techniquement actualisées aux standards de 2012 et non de 2007. Nous détaillerons ensuite les enjeux plus vastes qu'un tel projet soulève.

POLITIQUE DES ALGORITHMES : DE POTENTIELS CHALLENGERS AU PAGERANK

ieudi 29 novembre 2012, invité : Dominique Cardon, Centre d'étude des mouvements sociaux, EHESS et chercheur au laboratoire des usages d'Orange Labs

On proposera une réflexion sur les propriétés organisationnelles, et notamment algorithmiques, de l'espace public numérique. Le web que nous connaissons ne serait pas le même s'il n'avait pas été profondément nourri, domestiqué et organisé par l'algorithme qui le classe. L'organisation du web par les métriques de classement ne cesse d'interagir avec la forme des énonciations dont le web fait document. C'est parce que ces documents s'adressent entre eux des liens de reconnaissance que la métrique du PageRank a pu construire une représentation de l'information proche de celles qui prévalaient dans l'espace public traditionnel. Cependant, la domination du PageRank sur l'ordre du web apparaît aujourd'hui de plus en plus fragile. S'appuyant sur une conception de la qualité des documents, inspirée par les métriques d'autorité issues de la communauté scientifique, il se voit concurrencé par la multiplication des classements affinitaires personnalisés, comme le "Fil d'actualité" (newsfeed) de Facebook ou la "Chronologie" (timeline) de Twitter, lesquels deviennent, pour certains internautes, la principale porte d'entrée vers les informations. Le web documentaire et le web des réseaux sociaux sont en effet en train de définir deux écosystèmes différents. La diversification des usages, et notamment le tournant conversationnel des réseaux sociaux, a guidé les internautes vers d'autres modes de navigation, de signalement et d'exposition aux informations qui n'empruntent pas le chemin des moteurs de recherche, mais celui des réseaux d'affinités qu'à construits l'internaute pour personnaliser les informations qui viennent vers lui.

AVEC OU SANS DESIGN ? LE MOBILIER URBAIN INTELLIGENT POUR RÉVÉLER LA VILLE

jeudi 13 février 2014, invitée : Carola Moujan, Designer-Chercheur

Ce rendez-vous n'a pas eu lieu et nous le regrettons. Il devrait être reprogrammé ultérieurement.

Le discours autour des « smart displays » et autres « objets urbains connectés » agite aujourd'hui les esprits. Partout dans le monde, des tests se mettent en place, à l'instar de l'expérimentation « Mobilier Urbain intelligent » qui a eu lieu à Paris l'an dernier. Derrière un vocabulaire aux contours mal définis, deux tendances se dessinent : d'une part, une vision générique de la ville comme entité unique, compacte, et homogène ; et d'autre part, une prise en compte de réalités spatiales, socio-culturelles, économiques très diverses, ouvrant la voie à des opportunités d'innovation, de mutation urbaine et de réenchantement du quotidien dans lesquelles le design joue un rôle déterminant.

Partant de réflexions suscitées par son expérience professionnelle récente et son travail de recherche, Carola Moujan commentera quelques exemples représentatifs afin de montrer comment ces deux visions se concrétisent en objets.

LES NOUVELLES ARCHITECTURES LOGICIELLES (LAMBDA ARCHITECTURE) OU LE CLOUD

jeudi 2 octobre 2014, invité : Bruno Seznec

Bruno a décrit les nouvelles architectures d'entreprise dites "lambda architecture", et les nouvelles architectures d'application JavaScript du sol au plafond. Les GAFA (Google, Apple, Facebook, Amazon) faisaient partie dans le décor !

Les notes de séance, liens et commentaires issus de cette session sont visibles : sur notre Wiki.

LE BIG DATA

jeudi 18 juin 2015, invité : Pierre Delort

Le numérique imprègne le monde, les mathématiques y trouvent des modèles, certains et sous condition sont prédictifs...

Pierre Delort, Enseignant à Telecom ParisTech, DSI & Président de l'Association Nationale des DSI et auteur de "Le Big Data" de la collection Que Sais-je, nous invite, au delà du battage médiatique actuel, à débattre sur les perspectives ouvertes par les Technologies....

INTELLIGENCE ARTIFICIELLE : AVANCÉES ET IMPACTS AU QUOTIDIEN

jeudi 10 septembre 2015, invités : Ludovic Dubost et Philippe Ameline

Ludovic Dubost, dirigeant et co-fondateur d'XWiki, et Philippe Ameline, consultant et expert en Informatique médicale, bloggeur, nous parleront de l'Intelligence Artificielle (IA) au vu des dernières avancées ou annonces en Machine Learning et/ou Internet des objets (IoT).

Ludovic mettra l'accent sur les impacts de l'IA sur les emplois futurs et sur les services apportés par l'IA dans la vie quotidienne, notamment via les services de Google.

Philippe se propose d'aborder le thème par le biais de la santé.

Prochaines interventions

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prochain rendez-vous sparklingPoint

jeudi 10 septembre 2015

18h30, Paris Luxembourg

thème :

Intelligence artificielle : avancées et impacts au quotidien

invités :

Philippe Ameline - Ludovic Dubost

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